L'écrivain algérien Malek Alloula est décédé
Les éditions Barzakh ont annoncé la mort du poète et écrivain algérien Malek Alloula, mardi 16 février.
Disparition
L'écrivain algérien Malek Alloula est décédé mardi à l'âge de 77 ans alors qu'il se trouvait en résidence d'écriture à Berlin. Il nous quitte quelques jours seulement après le décès d'Assia Djebar, disparue le 6 février, dont il a été l'époux.
Poète, critique, essayiste de langue française, Malek Alloula sera inhumé à Oran, sa ville natale, à côté de son frère, Abdelkader Alloula, assassiné en 1994. Malek Alloula avait fait ses études de lettres à la faculté d'Alger, puis à la Sorbonne où il a fait sa thèse sur Denis Diderot. Il vivait et travaillait à Paris, où il s'était installé définitivement en 1967.
“Il est une figure discrète et essentielle de la littérature algérienne”, peut-on lire sur la page qui lui est consacrée sur le site de son éditeur algérien Barzakh, qui a réédité l'intégralité de l'œuvre de l'écrivain.
Poète, critique, essayiste de langue française, Malek Alloula sera inhumé à Oran, sa ville natale, à côté de son frère, Abdelkader Alloula, assassiné en 1994. Malek Alloula avait fait ses études de lettres à la faculté d'Alger, puis à la Sorbonne où il a fait sa thèse sur Denis Diderot. Il vivait et travaillait à Paris, où il s'était installé définitivement en 1967.
“Il est une figure discrète et essentielle de la littérature algérienne”, peut-on lire sur la page qui lui est consacrée sur le site de son éditeur algérien Barzakh, qui a réédité l'intégralité de l'œuvre de l'écrivain.
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