Entre rétrospectives générales et analyses ciblées, plusieurs publications invitent à se plonger dans la peinture en cette fin d'été. Pour expliquer l'histoire de cet art, Chêne réédite Léonard, Frida et les autres. Huit siècles de peinture racontés en cent artistes de Camille Jouneaux (27 août) tandis que Larousse passe 500 chefs-d'œuvre à la loupe (8 octobre).
Plusieurs peintres voient aussi leur travail être examiné dans plusieurs ouvrages. Sylvie Girard-Lagorce décrypte Van Gogh. La beauté de la nature (Géo, 10 septembre). Catherine Ambroselli de Bayser analyse l'œuvre de George Desvallières, peintre du Sacré-Coeur (El Viso, 11 septembre). Céline Muzelle et Manuel Anceau présentent Fusco l'exilé (Fage, 12 septembre).
Monographie et peinture abstraite
Avec Christian Hidaka, peintures. L'intemporel et le bel aujourd'hui de Peter Read (traduit par Jean-François Caro, 12 septembre), les Éditions B42 proposent une monographie consacrée à cet artiste britannique d'origine japonaise. Le peintre américain spécialiste du portrait John Singer Sargent est à l'honneur dans Sargent : le beau monde et son revers d'Isabelle Gadoin, Charlotte Ribeyrol et Emily Eells (Cohen & Cohen, 11 septembre) et dans John Singer Sargent, voyageur de Laura Valette (Falaises, 19 septembre).
La peinture abstraite se découvre avec la monographie dédiée à Paul Pagk sous la direction de Denise Wendel-Poray (Skira, 24 septembre). Inès Boittiaux décrypte six œuvres de Frida Kahlo (« L'art plus grand »/Hazan, 1er octobre). Et le 9 octobre, Gallimard enrichit sa collection « Pop-art » avec Edvard Munch de Claire Maingon, Johannes Vermeer de Léonie Marquaille, JMW Turner d'Amandine Rabier et Le Douanier Rousseau de Marion Alluchon.