Jeunesse

Milan lance « Ma journée », une nouvelle collection d’imagiers pour tout-petits

Les éditions Milan lanceront, le 6 juillet, la collection "Ma journée" pour les tout-petits. - Photo EC

Milan lance « Ma journée », une nouvelle collection d’imagiers pour tout-petits

L’éditeur jeunesse du groupe Bayard enrichit son catalogue d’une nouvelle collection d’imagiers, avec les photographies de Géraldine Aresteanu. Intitulée « Ma journée », celle-ci s’ouvrira sur quatre titres, disponibles en librairie le 6 juillet.

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Par Élodie Carreira
Créé le 01.07.2025 à 12h06

La maison d’édition jeunesse Milan, propriété de Bayard, lance une nouvelle collection pour les enfants dès 3 ans. Intitulée « Ma journée », cette série d’albums entend accompagner les tout-petits dans leur éveil au langage et dans la découverte de leur environnement. Chaque ouvrage sera illustré par les photographies vivantes et sensibles de l’artiste franco-roumaine Géraldine Aresteanu. Quatre premiers titres inaugureront la collection le 6 juillet prochain.

« Renouer avec des albums miroirs »

« Nous souhaitions rompre avec le caractère impersonnel des imagiers photos d’agence, pour renouer avec des albums miroirs », ont fait savoir les éditions Milan à Livres Hebdo. Pour cela, la maison a donc fait appel à Géraldine Aresteanu, photographe franco-roumaine connue pour ses portraits teintés d’humanité, notamment dans ses Portraits pour un mot, fruit d’un travail sur le langage des signes avec des enfants sourds-muets de plusieurs nationalités, ou dans ses reportages 24 heures.

Ici aussi, l’artiste a donc suivi plusieurs enfants dans leur quotidien, lors de moments clés de leur journal : le titre Le matin retrace, par exemple, la routine matinale de Gabin, tandis que Après l’école suit Charline à la sortie des classes. D’autres titres, comme Cueillette à la ferme avec Dolovan ou encore À la plage avec Louise, embarquent les enfants dans de nouvelles aventures.

Immersion dans le quotidien « d’un autre enfant qui me ressemble »

« Chaque titre est avant tout le fruit d’une rencontre », détaillent les éditions Milan, soulignant par ailleurs que l’usage de la première personne, tout au long des récits, permet à la fois à l’enfant-lecteur de s’identifier dans « le quotidien d’un autre enfant qui me ressemble », mais aussi d’éveiller son empathie.

Chaque album, tiré à 4 000 exemplaires – la collection se verra enrichie d’environ deux titres par an –, dispose également de bouts ronds afin que le jeune lecteur puisse manipuler confortablement les ouvrages.

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