Tendre jeudi, de John Steinbeck

Olivier Dion

Tendre jeudi, de John Steinbeck

Claude de Saint Vincent, directeur général de Média-Participations

Par Christine Ferrand
avec Créé le 20.03.2015 à 20h02 ,
Mis à jour le 23.04.2015 à 10h06

"Quand on regarde sa bibliothèque, il y a peu de livres que l’on ouvre régulièrement. Si j’ai lu tous les ouvrages de Steinbeck, en français ou en anglais, celui-ci est différent et j’ai bien dû le lire cinq ou six fois. C’est un livre moins sérieux que l’ensemble de son œuvre, à lire après Rue de la Sardine. Tendre jeudi est exceptionnel car il exhale une tendresse et une gentillesse, un goût du désordre et de l’anarchie. Le héros vit isolé et les habitants de la rue vont tenter de le marier à la prostituée du coin. C’est mieux qu’un Prozac ! Du moins je suppose, car je n’ai jamais essayé le Prozac. Donc voilà ce que je prescris pour une bouffée de gaieté."

20.03 2015

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