Pas de date ferme, mais une volonté: "réhabiliter l’écriture manuscrite". Au printemps, la ville de Paris organisera une journée, intitulée "Paris’écrit" (lire: Paris s'écrit), lors de laquelle les Parisiens seront invités à prendre la plume pour rédiger une lettre ou une carte et la poster. "A l’heure où le Web et les réseaux sociaux, sur lesquels on s’adresse à la cantonade, rendent fous, je souhaite recréer du lien, redonner le goût et l’envie d’écrire", a expliqué le 21 janvier Christophe Girard, l’adjoint à la culture de la maire de Paris Anne Hidalgo, lors de la présentation de ses projets pour 2019.
Organisée en partenariat avec La Poste, cette opération sera supervisée par Olivier Chaudenson, directeur de la Maison de la poésie et Sophia Hocini, collaboratrice du média associatif Zone d’expression prioritaire. Dans un post Facebook publié peu après l’annonce de l’événement, celle-ci déclare que "dans un monde où tout va vite, l’urgence est aussi de prendre le temps de revenir face à la page blanche, vierge de tout, pour écrire. Ecrire émancipe, écrire rend vivant."
Selon Christophe Girard, "postes, écoles, kiosques et hôtels seront mis à contribution". Des tables devraient être mises à disposition dans les espaces publics, comme les quais, afin que tous les Parisiens et même les touristes puissent participer à cette "réincarnation" de l'écriture qui "engage biologiquement et intellectuellement," a indiqué l’édile. L’adjoint à la culture "rêve qu’au moins cinquante mille personnes prennent la plume".
Organisée en partenariat avec La Poste, cette opération sera supervisée par Olivier Chaudenson, directeur de la Maison de la poésie et Sophia Hocini, collaboratrice du média associatif Zone d’expression prioritaire. Dans un post Facebook publié peu après l’annonce de l’événement, celle-ci déclare que "dans un monde où tout va vite, l’urgence est aussi de prendre le temps de revenir face à la page blanche, vierge de tout, pour écrire. Ecrire émancipe, écrire rend vivant."
Selon Christophe Girard, "postes, écoles, kiosques et hôtels seront mis à contribution". Des tables devraient être mises à disposition dans les espaces publics, comme les quais, afin que tous les Parisiens et même les touristes puissent participer à cette "réincarnation" de l'écriture qui "engage biologiquement et intellectuellement," a indiqué l’édile. L’adjoint à la culture "rêve qu’au moins cinquante mille personnes prennent la plume".
