Littérature

A partir de janvier, Raphaëlle Liebaert, éditrice du domaine étranger d’Autrement, intègre à tous les romans qu’elle publie une note du traducteur, dans laquelle il racontera comment il s’est approprié le texte. "En apparaissant, le traducteur fracasse le décor, il faut tout reconstruire, remettre chaque chose, chaque couleur, chaque odeur, chaque impression à sa place", écrit Mathilde Bach, autrefois éditrice chez Plon et désormais traductrice, qui s’est attaquée à Aucun homme ni dieu de William Giraldi, à paraître le 7 janvier (voir avant-critique, p. 39). En février, ce sera au tour de Nadine Korobetsky de présenter la réédition de La traversée amoureuse, dernier roman de Vita Sackville-West (1892-1962), qu’elle avait traduit il y a un demi-siècle chez Stock. A.-L.W.

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