La fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe ont annoncé dans un communiqué la sélection de la 11^e édition du prix de la littérature arabe, qui rassemble des auteurs et des autrices d’origines multiples (Algérie, Liban, Libye, Palestine, Tunisie) et s’exprimant en arabe ou en français.

La sélection 2024

• Du pain sur la table de l’oncle Milad de Mohammed Alnaas (Le bruit du monde)
• Les carnets d'El-Razi d’Aymen Daboussi (Philippe Rey - Barzakh - Collection khamsa)
• Bientôt les vivants d’Amina Damerdji (Gallimard)
• Le palais Mawal de Dominique Eddé (Albin Michel)
• Le désastre de la maison des notables d’Amira Ghenim (Philippe Rey - Barzakh - Collection khamsa)
• L’Éden à l’aube de Karim Kattan (Elyzad)
• Il faut revenir d’Hala Moughanie (Project’îles)

Le jury se réunira à l’automne sous la présidence de Pierre Leroy (administrateur délégué de la fondation Jean-Luc Lagardère), pour délibérer et désigner le ou la lauréat(e) de la nouvelle édition du prix de la littérature arabe. Il ou elle sera dévoilé(e) à l’occasion d’une cérémonie qui se déroulera le 27 novembre 2024, à l’Institut du monde arabe (IMA), en présence de Jack Lang, président de l’IMA.

Dans le cadre de cette édition, des rencontres littéraires seront programmées avec les finalistes du Prix de la littérature arabe 2024. Elles se tiendront à la Bibliothèque de l’Institut du monde arabe.

En 2023, c'est Feurat Alani qui avait été récompensé pour son roman Je me souviens de Falloujah (JC Lattès), écoulé à plus de 5 000 exemplaires en grand format selon GFK et dont la version poche a paru en avril dernier au Livre de poche.