Post mortem
L’Age d’Homme
Narrant le deuil d'une mère à laquelle le liaient des sentiments ambigus, A. Caraco peint, sur un ton détaché et retenu, l'enracinement à la fois charnel et spirituel de la mère en chaque être humain. Le récit présente le monde tel qu'il apparaît vu d'un regard d'extase à la lucidité désespérée. La violence comprimée suggère une parodie de l'enfer du quotidien.