Le Petit Nicolas - Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ? - Photo Copyright 2022 Onyx Films – Bidibul Productions – Rectangle Productions – Chapter 2
Sur les écrans cette semaine : le retour du Petit Nicolas, Paco Ignacio Taibo II, DC Comics et Heinrich Böll
Cette semaine, le Petit Nicolas ainsi que l’œuvre saisissante d’Heinrich Böll débarquent dans les salles obscures. L'écrivain mexicano-espagnol Paco Ignacio Taibo II, lui, s’invite sur Netflix, tandis que le plus célèbre justicier chauve-souris de DC Comics revient sur myCanal.
Le Petit Nicolas, Qu’est-ce qu’on a fait pour être heureux ? d’Amandine Fredon et Benjamin Massoubre (au cinéma le 12 octobre)
Le Petit Nicolas de Jean-Jacques Sempé (Gallimard Jeunesse) débarque au cinéma pour les vacances de la Toussaint avec une première adaptation animée, signée Amandine Fredon, Benjamin Massoudre et Robert Goscinny. La succession des saynètes redonne vie aux éternelles pitreries du jeune écolier, qui s’invite dans l’atelier de ses inventeurs pour révéler au grand jour le processus de création. L’adaptation a été récompensée du Cristal du meilleur long métrage lors du festival du film d'animation d’Annecy 2022.
Belascoaràn, détective privé d’Ernesto Contreras, Hiromi Kamata et Gonzalo Amat (sur Netflix dès le 12 octobre)
Après avoir abandonné son emploi et son couple, Hector Belascoaràn Shayne devient détective privé dans le Mexico des années 1970 et tente de percer le mystère de nombreuses affaires criminelles non résolues. Réalisée par Ernesto Contreras, la nouvelle série redonne vie aux douze romans retraçant les Aventures de Belascoaràn Shayne (Rivages noirs), imaginées dès 1976 par le mexicano-espagnol Paco Ignacio Taibo II.
The Batman, de Matt Reves et Peter Craig (sur myCanal le 14 octobre)
Trois ans après le triomphe du Joker de Todd Philipps, Matt Reves redécouvre le héros solitaire de DC Comics, Bruce Wayne (alias Batman), animé par le dési
Nathacha Appanah a remporté lundi 3 novembre le prix Femina pour La nuit au cœur, édité chez Gallimard. Marc Weitzmann chez Grasset et John Boyne chez JC Lattès sont quant à eux récompensés dans les catégories essai et roman étranger. Une consécration, mais aussi une manne bienvenue pour leurs éditeurs respectifs en attendant les très attendues proclamations, mardi 4 novembre, des prix Goncourt et Renaudot.
À l’occasion des 80 ans du prix du Quai des Orfèvres et à la veille de la proclamation du lauréat 2026, Livres Hebdo a rencontré Agnès Catineau, petite-fille du fondateur, et Fabrice Gardon, directeur de la Police judiciaire de Paris et président du jury, dans ses bureaux de la rue du Bastion, dans le XVIIe arrondissement. Organisée par les éditions Fayard, la distinction est devenue avec les années un rendez-vous incontournable du polar français.
Le récent cambriolage du Louvre a ravivé le débat sur la mission des institutions culturelles, entre rayonnement et sécurité. Il rappelle aussi que la culture semble avoir perdu sa dimension collective, devenant le symbole d’une Europe hésitant entre mémoire, innovation et désenchantement face à la mondialisation culturelle.
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