Payot ouvrira en mars 2015, sur la rive gauche de Genève, un magasin de 1 800 m2 répartis sur quatre étages. S’installant dans un immeuble d’UBS situé rue de la Confédération, au cœur des commerces de luxe, l’enseigne proposera une grande librairie francophone et internationale de 1500 m2, mais aussi une boutique Nature & Découvertes de 200 m2, marque dont elle gère les franchises en Suisse, ainsi qu’un espace café de 50 m2.
«Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une réorganisation de notre offre à Genève», explique Pascal Vandenberghe, qui a acquis au printemps la majorité du capital de l’enseigne qu’il a dirigée pendant dix ans pour le compte de Lagardère Services. «L’objectif est d’avoir un magasin rive droite – celui de la gare Cornavin, tout récemment ouvert –, et un autre rive gauche, qui remplace avantageusement les deux que nous avons actuellement.»
Les librairies Payot de la rue Chantepoulet et de la rue du Marché fermeront donc leurs portes, et leurs activités seront transférées vers le nouveau point de vente. Mais Payot annonce aussi la reprise de deux librairies genevoises indépendantes – l’une anglophone, Off the shelf, l’autre germanophone, Literart –, pour les fusionner et intégrer leur offre au nouveau magasin.
Avec 100 000 références, la nouvelle librairie Payot de Genève rive gauche deviendra «la deuxième plus grande librairie de Suisse romande après Payot Lausanne», assure Pascal Vandenberghe.
Pour financer ce projet évalué à plusieurs millions de francs suisses, le P-DG explique qu’il s’appuie en grande partie sur la vente du pas de porte de la rue du Marché. Et côté exploitation, précise-t-il, le loyer du nouveau magasin est «raisonnable». «Si le prix du mètre carré pour le rez-de-chaussée est prohibitif, celui pratiqué pour le premier et surtout le deuxième sous-sol permet de ramener le loyer global à un niveau abordable.»
A la tête de 12 magasins en Suisse romande, Payot a réalisé dans le livre en 2013 un chiffre d’affaires de 70 millions de francs suisses, soit 58 millions d’euros.
«Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une réorganisation de notre offre à Genève», explique Pascal Vandenberghe, qui a acquis au printemps la majorité du capital de l’enseigne qu’il a dirigée pendant dix ans pour le compte de Lagardère Services. «L’objectif est d’avoir un magasin rive droite – celui de la gare Cornavin, tout récemment ouvert –, et un autre rive gauche, qui remplace avantageusement les deux que nous avons actuellement.»
Les librairies Payot de la rue Chantepoulet et de la rue du Marché fermeront donc leurs portes, et leurs activités seront transférées vers le nouveau point de vente. Mais Payot annonce aussi la reprise de deux librairies genevoises indépendantes – l’une anglophone, Off the shelf, l’autre germanophone, Literart –, pour les fusionner et intégrer leur offre au nouveau magasin.
Avec 100 000 références, la nouvelle librairie Payot de Genève rive gauche deviendra «la deuxième plus grande librairie de Suisse romande après Payot Lausanne», assure Pascal Vandenberghe.
Pour financer ce projet évalué à plusieurs millions de francs suisses, le P-DG explique qu’il s’appuie en grande partie sur la vente du pas de porte de la rue du Marché. Et côté exploitation, précise-t-il, le loyer du nouveau magasin est «raisonnable». «Si le prix du mètre carré pour le rez-de-chaussée est prohibitif, celui pratiqué pour le premier et surtout le deuxième sous-sol permet de ramener le loyer global à un niveau abordable.»
A la tête de 12 magasins en Suisse romande, Payot a réalisé dans le livre en 2013 un chiffre d’affaires de 70 millions de francs suisses, soit 58 millions d’euros.
