Le Musée des Confluences de Lyon est inauguré ce 19 décembre et ouvrira ses portes au public le 20 décembre, dans un climat tendu. Une association de contribuables lyonnais dénonce le coût des 15 ans de travaux, multiplié par cinq par rapport à la première estimation.
Les visiteurs pourront admirer 2,2 millions d'objets. Le lieu, qui ambitionne de raconter l’aventure humaine des origines à nos jours, abritera sur 3000 m2 quatre expositions permanentes parmi lesquelles “Origines, les récits du monde” qui présentera une approche symbolique à travers des récits issus de sociétés inuit, aborigène, chinoise et du monde, mais aussi un angle scientifique.
Le musée abritera également ses trois premières expositions temporaires : Dans la chambre des merveilles, du 20 décembre au 26 juillet 2015 ; Les Trésors d’Émile Guimet, du 20 décembre au 26 juillet 2015 ; et A la conquête du pôle Sud, du 1er février au 28 juin 2015.
En librairie
Plusieurs ouvrages se penchent sur l’histoire et les collections de ce musée. Le musée des Confluences : le bâtiment, les collections, à paraître le 7 janvier chez Beaux-arts éditions, propose une visite guidée du lieu. Coédition entre les éditions Invenit et le musée, Mémoires en réserve de Cédric Lesec et Bernard Plossu, en librairie le 16 janvier, est un album photographique qui dresse des parallèles entre les objets que tout oppose.
Les trésors d’Emile Guimet : un homme à la confluence des arts et de l’industrie, paru le 19 novembre chez Actes Sud, présente les collections de l’industriel Emile Guimet, à l’origine en 1879 d’un premier musée dédié aux religions, qui avait rencontré un échec cuisant. C’est néanmoins ce personnage qui avait pris la direction du nouveau musée en 1914 (qui sera fermé en 2007).
Flammarion et le musée ont coédité deux ouvrages, publiés le 3 décembre. L’un porte sur une des expositions temporaires, Dans la chambre des merveilles. Il retrace l’histoire des cabinets de curiosités européens et analyse la démarche du collectionneur. Le deuxième titre, Confluences : genèse d’un musée, raconte l'histoire des travaux. L’ouvrage met en évidence la prouesse architecturale et aborde la question de la place du lieu dans la ville de Lyon.
Les visiteurs pourront admirer 2,2 millions d'objets. Le lieu, qui ambitionne de raconter l’aventure humaine des origines à nos jours, abritera sur 3000 m2 quatre expositions permanentes parmi lesquelles “Origines, les récits du monde” qui présentera une approche symbolique à travers des récits issus de sociétés inuit, aborigène, chinoise et du monde, mais aussi un angle scientifique.
Le musée abritera également ses trois premières expositions temporaires : Dans la chambre des merveilles, du 20 décembre au 26 juillet 2015 ; Les Trésors d’Émile Guimet, du 20 décembre au 26 juillet 2015 ; et A la conquête du pôle Sud, du 1er février au 28 juin 2015.
En librairie
Plusieurs ouvrages se penchent sur l’histoire et les collections de ce musée. Le musée des Confluences : le bâtiment, les collections, à paraître le 7 janvier chez Beaux-arts éditions, propose une visite guidée du lieu. Coédition entre les éditions Invenit et le musée, Mémoires en réserve de Cédric Lesec et Bernard Plossu, en librairie le 16 janvier, est un album photographique qui dresse des parallèles entre les objets que tout oppose.
Les trésors d’Emile Guimet : un homme à la confluence des arts et de l’industrie, paru le 19 novembre chez Actes Sud, présente les collections de l’industriel Emile Guimet, à l’origine en 1879 d’un premier musée dédié aux religions, qui avait rencontré un échec cuisant. C’est néanmoins ce personnage qui avait pris la direction du nouveau musée en 1914 (qui sera fermé en 2007).
Flammarion et le musée ont coédité deux ouvrages, publiés le 3 décembre. L’un porte sur une des expositions temporaires, Dans la chambre des merveilles. Il retrace l’histoire des cabinets de curiosités européens et analyse la démarche du collectionneur. Le deuxième titre, Confluences : genèse d’un musée, raconte l'histoire des travaux. L’ouvrage met en évidence la prouesse architecturale et aborde la question de la place du lieu dans la ville de Lyon.
