Elle l'a écrit
« Derrière la porte, on entend des ronflements si forts qu'ils font penser aux grognements d'un monstre. J'éloigne les petites pour qu'elles laissent dormir leur grande sœur. J'apprendrai plus tard que ces bruits étaient des laryngospasmes. [...] Si j'avais réveillé Pauline à cet instant, peut-être qu'il n'aurait pas été trop tard »,