En ouverture, cette semaine, le nouveau roman de Jérôme Ferrari, prix Goncourt 2012 pour Le sermon de la chute de Rome (Actes Sud). L'auteur creuse les thèmes de la foi, de l'action violente, de l'obsession des images et de la mortalité, sur fond d'enterrement d'une reporter-photographe corse, dans A son image, à paraître le 22 août chez Actes Sud.
Sont aussi chroniqués cette semaine les romans de Christine Barthe (Que va-t-on faire de Knut Hamsun?, Robert Laffont), Gwenaëlle Aubry (La folie Elisa, Mercure de France), Jean-Luc Barré (Pervers, Grasset), François-Xavier Delmas (Ma vie de saint, Anne Carrière), Eric Fottorino (Dix-sept ans, Gallimard), Jérémy Fel (Helena, Rivages), Alexandre Najjar (Harry et Franz, Plon), Elisa Shua Dusapin (Les billes du Pachinko, Zoé), Serge Filippini (J'aimerai André Breton, Phébus), et Vivian Gornick (La femme à part, Rivages).
Gauz de retour
Le premier avant-portrait de la rentrée est consacré à Gauz, qui avait fait sensation en 2014 avec son premier roman, Debout-payé, et qui revient avec Camarade papa, le 31 août, au Nouvel Attila.
On lira aussi des articles sur les essais d'Anatole Le Bras (Un garçon à l'asile, CNRS éditions) et Jean-François Laé (Une fille en correction, CNRS éditions), sur l'Histoire des crétins des Alpes par Antoine de Baecque (La libraire Vuibert) et sur l'enquête de Cécile Delarue Black-out, les disparues de South Central (Plein jour). Mais aussi une chronique sur le livre jeunesse de Tom Haugomat, A travers, à paraître chez Thierry Magnier et sur l'incroyable roman graphique d'Emil Ferris, Moi, ce que j'aime, c'est les monstres (Monsieur Toussaint Louverture).