En quête de la prophétie :
Le codex maya (Pocket), d'Adrian D'Hagé, paru le 15 novembre.
Au coeur de la jungle du Guatemala, la jeune archéologue Aleta Weizman part à la recherche du texte prophétisant la fin du monde en décembre 2012, aidée par Curtis O'Connor, un agent de la CIA chargé de la surveiller. Mais des forces puissantes à Rome et Washington tentent de les en empêcher.

La BD de la dernière chance :
Les Chronokids, vol. 5 : Contre la fin du monde (Glénat), de Zep, publié le 28 novembre.
Refusant que sa prestation au spectacle de fin d'année soit annulée pour cause de fin du monde, Adèle décide de la faire décaler d'une semaine. Marvin et elle partent à la rencontre de Nostradamus et des Mayas.

L'homme et l'inconnu :
2001 : nights stories (Glénat), de Yukinobu Hoschnino, publié le 5 décembre.
L'auteur propose 19 histoires courtes autour de l'exploration et de la colonisation de l'espace par l'homme, et de ses aventures face à l'inconnu. Les récits se veulent la suite de 2001, l'odyssée de l'espace, fidèles à l'esprit du roman d'Arthur Clarke et du film de Stanley Kubrick.

Quand apocalyptique rime avec crise économique :
L'après 2012 selon l'Apocalypse de Jean (Réel), de Pierre-Israël Trigano, publié le 14 décembre.
L'auteur décrypte les symboles cachés dans l'Apocalypse de Jean. Il révèle une vision très précise de la crise mondiale en cours depuis 2008, qui selon lui va se terminer par l'effondrement du capitalisme et la naissance d'une société nouvelle.

Philosophie de la fin :
Après la fin du monde : critique de la raison apocalyptique (Seuil), de Michaël Foessel, paru le 11 octobre.
Cette généalogie de l'idée de fin du monde distingue deux voies de la modernité, l'une privilégiant la vie et sa conservation, comme celle prônée par les écologistes, l'autre faisant du monde le thème principal de la philosophie et un enjeu politique.