Livres-Hebdo : Quel bilan dressez-vous de cette première édition ?
Jean-Baptiste Passé : Le bilan est très positif aussi bien quantitativement que qualitativement. En trois jours, nous avons vendu 100 000 livres environ, organisé 250 rencontres et accueilli autour de 1000 auteurs. Le public était également au rendez-vous puisque nous signons un record d’affluence pour le Grand-Palais éphémère avec ces quelques jours de festival. Cette nouvelle formule nous a également permis de mettre tout de suite notre prototype de festival en tension et d’en repérer les failles pour la prochaine édition.
Quelles sont ces failles ?
Nous avons clairement manqué de TPE volants et pallierons à cela dès l’année prochaine. Concernant la gestion des stocks, les 35% de cas par cas, ceux qui n’ont pas été rentrés dans notre logiciel, nous ont souvent posé problème. Afin d’y pallier, nous souhaitons donc étendre l’année prochaine l’utilisation de ce logiciel informatique à 90% des titres vendus.
A quoi ressemblera l’édition 2023 du festival qui aura lieu les 21,22 et 23 avril ?
Elle sera la même que cette année, avec la même joie, la même ambiance et le même lieu mais avec cette fois l’Italie en pays invité. J’aimerai par contre que la prochaine édition accueille une plus grande diversité éditoriale et pense, en ce sens, reprendre très rapidement contact avec les régions.