Le 3 mai 1987, après 120 millions de disques vendus et plus deux mille chansons enregistrées, Dalida se suicidait dans sa maison parisienne de Montmartre. Vingt ans après, la Mairie de Paris lui consacre une exposition : «Dalida, Paris pour destin» (salle Saint-Jean de l’Hôtel de Ville, du 11 mai au 8 septembre). Les éditions Chronique publient le catalogue et l’album de l’exposition (respectivement à 29,90 et 8 euros). Autres livres à paraître évoquant la carrière et la vie de la star : Dalida, une vie brûlée, par le journaliste-éditeur-biographe Bernard Pascuito à l’Archipel (26 avril) ; réédition avec changement de titre de l’album de Henri Jean Servat et Orlando (le frère de Dalida), chez Albin Michel, dans la collection «Nostalgie» : Elle s’appelait Dalida (2 mai) ; Dalida par la romancière Colette Fellous chez Flammarion (4 mai), Dalida éternelle de Fabien Lecœuvre chez City (19 juin). Un album Dalida, par Orlando, est également annoncé en juin chez Pharos-Jacques-Marie Laffont.

Et parmi les parutions récentes : Dalida, tu m’appelais petite sœur, par Jacqueline Pitchal, chez Didier Carpentier ; Dalida passionnément, d’Ariane Ravier, chez Favre ; Dalida, d’une rive à l’autre, de David Lelait-Helo, chez J’ai lu ; Dalida, entre violon et amour, d’Isaline, chez Publibook.