En présence de la mère d'Asli Erdogan, Mine Aydostlu, du directeur de la collection "Lettres turques" chez son éditeur, Actes Sud, Timour Muhidine, de la P-DG d'Actes Sud, Françoise Nyssen, de l'écrivain, traducteur et interprète turc Yigit Bener, ou encore de l'agent littéraire qui avait fondé la revue Le Serpent à Plumes, Pierre Astier, plusieurs lectures ont rythmé la soirée.
"Une maison d'édition, c'est un lieu que l'on espère de liberté, a souligné Françoise Nyssen. La parole d'Asli Erdogan existe à travers ses livres, nous devons la diffuser. Actes Sud est profondément avec elle. On l'attend".
Dans un recueil à paraître le 4 janvier sous le titre Le silence même n'est plus à toi, la maison rassemblera vingt-neuf textes de l'essayiste engagée, parus dans la presse au cours des dix dernières années et traduits par Julien Lapeyre de Cabanes.