suède

Don’t ask for mercy, premier roman de Martin Osterhdal est le nouveau thriller suédois dont on parle. Publié en août par la maison suédoise Forum, on compare déjà son auteur à l’Américain Tom Clancy ou au Norvégien Jo Nesbø. Les droits du livre ont été vendus à l’éditeur danois People’s Press, à l’allemand Blanvalet (Random House), à l’espagnol Random House et au néerlandais Ambo/Anthos. L’auteur, qui été producteur de télévision pendant vingt ans après des études de russe et d’économie, a situé son roman en 1996, pendant l’élection présidentielle russe et une attaque du réseau téléphonique suédois. Son héros, Max Anger, garde-côte et expert, part à Saint-Pétersbourg à la recherche de sa petite amie, mystérieusement disparue. Il semblerait qu’elle soit tombée sur une entreprise occulte travaillant à instaurer un régime totalitaire. C. C.

23.09 2016

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