Après une année de relative tranquillité, marquée par une évolution des ventes au détail proche de celle de la moyenne du marché du livre d'après nos données Livres Hebdo/I+C, et même par le retour de la croissance des ventes selon GFK à 1,7 % en valeur et à 3,8 % en volume, les éditeurs de parascolaire sont repartis sur les chapeaux de roues. Dès la parution des nouveaux programmes engendrés par la réforme du bac, ils se sont attelés à ce qui constitue l'enjeu de l'année : la mise aux normes de l'ensemble de leurs collections consacrées au lycée. Mécanique, la tâche n'en demeure pas moins, de l'avis de tous, immense. « Nous sommes en train d'apprendre l'agilité, ironise Rachel Duc, directrice du parascolaire chez Hatier. Comme pour le collège et le primaire en 2016, les programmes sont arrivés assez tard, ce qui nous oblige à prioriser et à privilégier les fondamentaux. »
Révolution
L'arrivée tardive des programmes n'explique pas, à elle seule, la lourdeur du travail des éditeurs. Mise en application dès la rentrée de septembre pour les classes de seconde et de première, la réforme du bac constitue quasiment une révolution. En premier lieu par son amplitude inédite. « C'est la première fois que deux niveaux changent en même temps au lycée », observe Cécile Labro, directrice parascolaire et pédagogie chez Hachette Education. En revanche, seule la classe de terminale évoluera sur l'année 2020-2021.
Cette réforme apporte de profonds bouleversements dans les enseignements et les épreuves du bac. Les filières L, S et ES disparaissent pour laisser la place à un système de spécialités. A côté d'un socle commun de connaissances, composé de français, d'histoire-géographie, d'un enseignement moral et civique, de deux langues, de sport, d'humanités scientifiques et numériques ainsi que de philosophie en terminale, les élèves vont devoir choisir, à la fin de la seconde, trois spécialités parmi douze matières proposées. En outre, les épreuves du bac, désormais au nombre de cinq, ne comptent plus que pour 60 % de la note finale. Les 40 % restants proviennent du contrôle continu.
Selon les éditeurs, tant de transformations devraient ouvrir le marché et permettre au segment du lycée, en constante érosion depuis plusieurs années, de retrouver des couleurs. « Par rapport à la réforme du collège, nous sommes face à des enjeux différents, analyse Rachel Duc. Il s'agit du bac, et d'une révolution de structure, qui devrait générer pas mal de stress chez les élèves et les parents. Et qui dit stress dit refuge vers des valeurs sûres. » La directrice du parascolaire chez Hatier a donc concentré ses forces sur ses marques historiques, Annabac, Prépabac et Fiches bac, entièrement refondues pour être conformes aux programmes. Pas moins de 80 titres sont prévus entre juin et juillet.
Incertitude
La stratégie a été adoptée par l'ensemble de ses confrères. « C'est le moment de capitaliser sur nos marques existantes », confirme Séverine Merviel, directrice marketing et développement chez Nathan secondaire, où les équipes ont planché en priorité sur les collections « ABC du bac » et « Interros des lycées ». Manon Savoye, chez Ellipses, a aussi entièrement remanié ses quatre collections les plus vendues : « Méthode S » ; « Objectif mention très bien » ; « Que faire » et « Contrôle continu », l'une des premières de la maison en parascolaire. Avec les ouvrages hors collection, la directrice éditoriale d'Ellipses annonce plus d'une centaine de titres adaptés aux nouveaux programmes d'ici à la fin septembre.
Pour autant, l'incertitude est grande dans les maisons. Outre l'apparition de nouvelles disciplines, comme les humanités scientifiques et numériques pour le tronc commun, ou l'écologie, l'agronomie et les territoires pour les spécialités, ils doivent aussi tenter d'anticiper les choix les plus courants des spécialités et les attentes des enseignants et des lycéens. Seule conviction partagée par tous, l'affaiblissement des tout-en-un, remis en cause par la disparition des filières, au profit des monomatières, une formule pourtant moins plébiscitée sur le marché depuis plusieurs années. « On va quand même essayer de proposer une offre tout-en-un sur le socle commun tout en regardant aussi les choix des spécialités, explique Cécile Labro. Il est probable, dans un premier temps du moins, que les élèves tentent de reproduire les anciennes filières, d'autant que l'enseignement supérieur n'a pas changé. »
Prudentes, les maisons sortent donc peu des sentiers battus et attendent, dans leur grande majorité, 2020 pour faire évoluer les formats ou imaginer de nouveaux concepts. Toutefois, chez Hatier, Rachel Duc profite de la réforme pour améliorer l'accessibilité des ouvrages, qui constitue l'une de ses préoccupations permanentes. « Les manières de réviser des lycéens évoluent, ils demandent toujours plus de synthèses et de visuels », assure la directrice éditoriale, qui privilégie ainsi des contenus « granulaires », censés être plus digestes car axés autour d'une notion, d'une compétence ou d'une méthodologie.
Partant du même constat, Belin a choisi de retarder ses publications pour mieux s'adapter au marché, alors que Bordas et Ellipses ont opté pour l'ajout de nouvelles collections. « Mes années bac », conçue par Anne Langlois, directrice du département grand public de la filiale d'Editis, repose sur le postulat que « le besoin des élèves sera variable en fonction des spécialités. Ils attendent donc des réponses différentes et une certaine efficacité. » La série, sorte de marque ombrelle, mélangera ouvrages de cours et fiches, qui feront la part belle aux QCM, aux exercices corrigés et aux rubriques de méthodologie pour « gagner des points ». Les dix premiers titres arriveront sur les tables des libraires en juillet, concentrés sur les matières les plus porteuses. Tout aussi persuadée que c'est la méthodologie qui va permettre aux élèves de réussir, Manon Savoye a imaginé « Parcours et méthodes », une collection « qui épouse vraiment la philosophie du nouveau bac ». Organisée par matières, elle propose des cours complets assortis de zooms spécifiques, d'une batterie d'exercices et de fiches méthodologiques claires. Treize titres sont programmés d'ici à la fin septembre, qui couvrent les classes de seconde et de première.
Orientation
Autre particularité liée à la réforme, l'introduction d'éléments d'orientation dans les ouvrages de parascolaire. En partenariat avec le magazine Phosphore, Bordas propose dans ses « Année de » un dossier destiné à guider les lycéens dans le choix de leurs spécialités en fonction de leurs appétences et des métiers qu'ils visent. Rachel Duc annonce carrément des projets d'ouvrages sur cette thématique. « La spécialisation va se faire encore plus tôt et sera très impactante sur les études supérieures. Ce ne sera pas forcément évident à appréhender », plaide l'éditrice.
Occupés à mettre à jour leurs collections pour le lycée, les éditeurs n'en délaissent pas pour autant les autres domaines du parascolaire. Les ouvrages de référence, en perte de vitesse depuis plusieurs années et dominés par la marque Bescherelle d'Hatier, pourraient ainsi être le théâtre d'une bataille rangée. Arrivé l'année dernière sur ce segment avec le Grévisse du collège, Magnard a frappé fort. La filiale d'Albin Michel annonce en avoir écoulé 42 000 exemplaires. Elle compte récidiver cette année avec le Grévisse de la conjugaison (voir page 70). Sentant le vent venir, Hatier a engagé une refonte globale de sa marque Bescherelle, visible en librairie en juin. Enrichissement du contenu, rajeunissement de la maquette, augmentation des visuels, tout a été fait pour « réaffirmer la modernité de la marque et l'importance de maîtriser la langue française », explique Rachel Duc. Une bataille dans laquelle Larousse compte bien faire aussi entendre sa voix avec la parution, toujours en juin, de L'anti-fautes d'orthographe junior, décliné de la collection pour adultes « Les anti-fautes de Larousse ».
Du côté des cahiers de vacances, l'été sera plus calme. Habituellement très concurrentiel et consommateur de nouveautés, le rayon ne proposera cette année que quelques inédits. Seuls Hachette Education et Bordas inaugurent des collections, respectivement « Mon carnet de vacances », ludo-éducative au format carré, et « Tous en vacances », qui privilégie la révision en famille. Les licences s'enrichissent de quatre nouveaux personnages : « Simon », issu du héros de Stephanie Blake et exploitée par Play Bac, les « Miraculous », un groupe de super-héros commercialisé par Hachette Education, « Léna », qui fait son entrée dans les « Enigmes des vacances » de Nathan et « Max et Lili », les héros de Dominique de Saint Mars qui marquent ainsi l'arrivée de Calligram dans le parascolaire.
Méthodes alternatives
En revanche, pour conserver la dynamique des ventes du soutien, qui a bondi en 2018 de 7,8% (en valeur), les éditeurs creusent le sillon des méthodes alternatives et inclusives d'apprentissages et le segment des premières lectures, dont ils cherchent progressivement à ouvrir le champ vers la maternelle et le cours élémentaire, voire vers l'anglais. En mars, Belin Education a lancé les trois premiers titres de « My english factory », une gamme qui couvre le primaire et favorise, grâce à la fiction, l'apprentissage progressif de l'anglais. La maison a aussi profité de cette année sans réforme pour renouveler, et rajeunir, l'identité graphique de son navire amiral « Boscher », « sans en changer la philosophie mais pour être en phase avec l'air du temps », insiste Fabrice Bertocci, directeur commercial et marketing. L'objectif est le même chez Nathan, qui a totalement refondu sa gamme « Je comprends tout ». « Réviser régulièrement les collections est indispensable, note Monique Paillat, directrice éditoriale parascolaire. Les couvertures et illustrations vieillissent vite et cela nous permet en outre de réaffirmer notre marque. »
Magnard s'est engagé dans une démarche similaire et a entièrement retravaillé sa collection phare « Cahier du jour, Cahier du soir » pour créer le « Nouveau cahier du jour, cahier du soir ». « Repensé de fond en comble, le concept a été optimisé et favorise la clarté et l'aspect visuel sans sacrifier le contenu, qui reste le plus complet du marché », précise Carole Gavaggio, responsable éditoriale de Magnard. Lancée en janvier avec les monomatières, la refonte se poursuivra en juin avec les tout-en-un, qui peuvent faire office de cahiers de vacances, et en septembre, qui représente le second pic de vente pour ce genre d'ouvrages. W
Classiques : le retour de la guerre
La réforme du programme et des épreuves du bac français devrait engendrer une concentration des ventes sur une poignée de titres, sur lesquels les éditeurs dirigent tous leurs efforts.
Après deux années de morosité et d'interrogations, liées à la réforme du collège, les ventes des classiques pédagogiques étaient parvenues à retrouver une certaine stabilité. Sur la période d'avril 2018 à mars 2019, GFK estime la progression de leur vente à 1 % en valeur et à 1,5 % en volume. Mais la réforme du lycée, et avec notamment les changements apportés aux programmes et aux épreuves du bac français qui entrent en vigueur dès la rentrée de septembre, va à nouveau rebattre sérieusement les cartes d'un marché fortement concurrentiel, ravivant « une bataille féroce entre éditeurs », pronostique Cécile Labro, directrice du parascolaire chez Hachette Education.
Prudence
A partir de septembre, les enseignants des premières généralistes et technologiques, qui étaient auparavant libres dans le choix des textes étudiés en classe, sont en effet de nouveau contraints par l'Education nationale. Les programmes imposent la lecture de quatre textes à choisir dans une sélection de seize œuvres, qui s'inscrivent elles-mêmes dans quatre objets d'études : la poésie ; le roman et le récit ; le théâtre ; la littérature d'idées. Conséquence immédiate d'une telle décision : les ventes vont se concentrer sur ces textes sur lesquels les éditeurs portent fort logiquement toute leur attention en 2019.
Commercialisées pour une petite minorité en mai, les nouvelles éditions pédagogiques des œuvres prescrites, très classiques, vont donc se bousculer fin août sur les tables des librairies. « Vu l'ampleur de la tâche, rendue encore plus compliquée en raison de l'arrivée tardive des programmes, début mars, il aurait été difficile de publier avant », souligne Carine Girac-Marinier, directrice du périscolaire chez Larousse. Encore au travail, comme Séverine Merviel, directrice marketing de Nathan secondaire, qui ne savait pas, à la mi-avril « la tête qu'aura la nouvelle gamme » des « Carrés classiques », les éditeurs restent donc très prudents, et secrets, sur leurs nouvelles moutures. Introduction de questions de grammaire, qui fait son apparition aux épreuves, effort sur le commentaire composé ou sur l'accessibilité et la lisibilité des œuvres et des dossiers, enrichissement des éléments historiques et artistiques pour coller aux parcours culturels qui accompagnent chaque œuvre et la restituent dans son contexte culturel, chacun y va de sa spécialité pour « donner le plus possible d'informations et d'outils aux enseignants et aux élèves », affirme Rachel Duc, directrice du parascolaire chez Hatier. L'objectif reste aussi, évidemment, de trouver la formule idoine pour se démarquer de la concurrence et recueillir les faveurs des enseignants.
Présence
Autre stratégie, être présent sur le plus grand nombre possible d'œuvres prescrites. C'est notamment l'objectif du leader du marché, Flammarion, et de Belin Education, qui proposera treize ouvrages sur les seize indiqués, tout en promettant un « cahier pédagogique entièrement repensé », assure-t-on dans les deux maisons.
Toutefois, la filiale du groupe Humensis compte également sur la mise en place d'une PLV en magasin à la rentrée, une action « inédite pour nous mais nécessaire pour se faire une place dans le flot des publications », indique Fabrice Bertocci, directeur commercial et marketing de Belin Education.
Chez Flammarion, Pauline Kipfer, directrice éditoriale des formats poche de la marque, fait un second pari. S'appuyant sur l'expérience de la maison en BTS, où ce genre d'ouvrage domine, elle proposera à la fin de l'été deux recueils thématiques, Le pouvoir de la parole et Les représentations du monde, destinés aux élèves ayant choisi la spécialité Humanités, littérature et philosophie. L'éditrice se sert aussi de ces livres, réalisés conjointement par des enseignants de français et de philosophie, pour tester l'introduction de cette dernière discipline dans la collection « Etonnants classiques ».
Ouverture
Troisième axe de la stratégie de Flammarion pour conserver le leadership sur le segment, la poursuite de la publication d'auteurs contemporains. Misant sur le « désir des enseignants, libres de leur choix en seconde, d'ouvrir les champs et de sortir des sentiers battus », Pauline Kipfer sort en mai Les champs d'honneur de Jean Rouaud et Des jours et des nuits à Chartres d'Henning Mankell, « deux paris ». Arrivé à la même réflexion, Laurent Breton, directeur du pôle grand public de Magnard, « ne faiblit pas sur ce volet » et annonce l'arrivée d'Alexis Michalik et de Václac Havel dans son catalogue.
Au Livre de poche (LGF), L'herbe rouge de Boris Vian et M. Rose et autres nouvelles d'Irène Némirovsky font leur entrée dans la collection « Les classiques pédago ». Isabelle Dubois, directrice éditoriale du pôle classique de LGF, espère aussi attirer les enseignants avec La parole est un sport de combat de l'avocat Bertrand Périer, « qui constitue un outil précieux pour se préparer à la nouvelle épreuve du grand oral ». W
Les 50 meilleures ventes Parascolaire
Avril 2018-mars 2019. Symbole de l'engouement des parents pour ce type de produit, les premières lectures font une entrée fracassante dans le classement GFK/Livres Hebdo des cinquante meilleures ventes des livres parascolaires sur la période avril 2018-mars 2019. Ce sous-segment du soutien, ouvert par Belin et Hachette Education il y a presque cinq ans, place 10 titres, dont 9 sont issus de la série Sami et Julie éditée par Hachette Education, validant le principe selon lequel la prime va au pionnier.
Les cahiers de vacances perdent 6 références. Si Nathan reste stable, avec 14 titres ventilés entre « Nathan vacances » et T'choupi, Hachette Education subit l'usure des licences et notamment celle de Peppa pig. Absent du classement, le petit cochon anglais était parvenu à introduire six cahiers en 2017. En revanche, le Loup d'Auzou ne faiblit pas. Entré en 2017 à la 48e place du palmarès, Je rentre en CP avec Loup monte au 35e rang, confirmant le succès du personnage auprès des enfants.
Rang | Titre | Auteur | Editeur | Prix |
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1 | Passeport du CE1 au CE2, 7-8 ans : avec autocollants récompenses | Catherine Bessières | Hachette Education | 5,40 € |
2 | Passeport du CP au CE1, 6-7 ans : avec autocollants récompenses | Philippe Bourgouint | Hachette Education | 5,40 € |
3 | Passeport du CE2 au CM1, 8-9 ans : avec autocollants récompenses | Michèle Bacon | Hachette Education | 5,40 € |
4 | Passeport du CM1 au CM2, 9-10 ans : avec autocollants récompenses | Claire Barthomeuf | Hachette Education | 5,40 € |
5 | Passeport du CM2 à la 6e, 10-11 ans : avec autocollants récompenses | Guy Blandino | Hachette Education | 5,40 € |
6 | Nathan vacances, CP vers le CE1, 6-7 ans : toutes les matières | Collectif | Nathan | 5,50 € |
7 | Passeport de la grande section au CP, 5-6 ans | Marie-Christine Exbrayat | Hachette Education | 5,40 € |
8 | Nathan vacances, CE1 vers le CE2, 7-8 ans | Collectif | Nathan | 5,50 € |
9 | Passeport toutes les matières, de la 6e à la 5e | Isabelle de Lisle | Hachette Education | 8,90 € |
10 | Nathan vacances, CE2 vers le CM1, 8-9 ans : toutes les matières | Collectif | Nathan | 5,50 € |
11 | Nathan vacances, CM1 vers le CM2, 9-10 ans : toutes les matières | Collectif | Nathan | 5,50 € |
12 | Nathan vacances, CM2 vers la 6e, 10-11 ans : toutes les matières | Collectif | Nathan | 5,50 € |
13 | Nathan vacances, GS vers le CP, 5-6 ans : toutes les matières | C. Chambon, S. Guilloré-Chotard | Nathan | 5,50 € |
14 | Passeport toutes les matières, de la 5e à la 4e | Isabelle de Lisle | Hachette Education | 8,90 € |
15 | Nathan vacances, 6e vers la 5e : toutes les matières | Collectif | Nathan | 8,99 € |
16 | Mon T'choupi vacances : de la moyenne à la grande section : 4-5 ans | Stéphanie Grison | Nathan | 5,95 € |
17 | Cahier de vacances de la GS au CP, 5-6 ans : toutes les matières | Myriam Baya Nasroune | Magnard | 4,30 € |
18 | Mon T'choupi vacances : j'entre en petite section, 2-3 ans | Catherine Serres | Nathan | 5,95 € |
19 | Mon T'choupi vacances : de la petite à la moyenne section : 3-4 ans | Stéphanie Grison | Nathan | 5,95 € |
20 | Passeport de la 4e à la 3e : toutes les matières | Collectif | Hachette Education | 8,90 € |
21 | Passeport de la moyenne section à la grande section, 4-5 ans | M.-C. Exbrayat, N. Poure | Hachette Education | 5,40 € |
22 | Nathan vacances, 5e vers la 4e : toutes les matières | Collectif | Nathan | 8,99 € |
23 | Nathan vacances, MS vers la GS, 4-5 ans : toutes les matières | S. Grison, S. Guilloré-Chotard | Nathan | 5,50 € |
24 | Cahier de vacances du CP au CE1, 6-7 ans : toutes les matières | Michel Wormser | Magnard | 4,30 € |
25 | Cahier de vacances du CE1 au CE2, 7-8 ans : toutes les matières | Christian Redouté | Magnard | 4,30 € |
26 | Je rentre en CP avec Loup : de la GS au CP | Orianne Lallemand, Eléonore Thuillier | Auzou | 4,95 € |
27 | Cahier de vacances du CE2 au CM1, 8-9 ans : toutes les matières | Maguy Bilheran | Magnard | 4,30 € |
28 | Jouer pour réviser du CP au CE1, 6-7 ans | Michèle Lecreux | Hachette Education | 6,00 € |
29 | Cahier de vacances de la MS à la GS, 4-5 ans : toutes les matières | Caroline Thierry | Magnard | 4,30 € |
30 | Les énigmes de l'été : spécial adultes | Michèle Lecreux | Hachette Education | 3,99 € |
31 | Jouer pour réviser du CE1 au CE2, 7-8 ans | Michèle Lecreux | Hachette Education | 6,00 € |
32 | Cahier de vacances du CM1 au CM2, 9-10 ans : toutes les matières | Alain Charles | Magnard | 4,30 € |
33 | Nathan vacances, 4e vers la 3e : toutes les matières | Collectif | Nathan | 8,99 € |
34 | Mon T'choupi vacances : de la grande section au CP : 5-6 ans | Stéphanie Grison | Nathan | 5,95 € |
35 | Jouer pour réviser, de la GS au CP, 5-6 ans | Michèle Lecreux | Hachette Education | 6,00 € |
36 | Je rentre en grande section avec Loup : de la MS à la GS | Orianne Lallemand, Eléonore Thuillier | Auzou | 4,95 € |
37 | Cahier de vacances du CM2 à la 6e, 10-11 ans : toutes les matières | Bernard Séménadisse | Magnard | 4,30 € |
38 | Jouer pour réviser du CE2 au CM1, 8-9 ans | Michèle Lecreux | Hachette Education | 6,00 € |
39 | Nathan vacances, PS vers la MS, 3-4 ans : toutes les matières | Catherine Serres | Nathan | 5,50 € |
40 | Passeport de la petite section à la moyenne section, 3-4 ans | Marie-Christine Exbrayat, Nadia Poure | Hachette Education | 5,40 € |
41 | Cahier de vacances de la PS à la MS, 3-4 ans | Aurélie Perrot | Magnard | 4,30 € |
42 | Mes vacances Hachette du CP au CE1, 6-7 ans | Collectif | Hachette Education | 4,20 € |
43 | Passeport adultes, spécial énigmes | Agnès Gabrielli | Hachette Education | 6,90 € |
44 | Mes vacances Hachette du CE1 au CE2, 7-8 ans | Collectif | Hachette Education | 4,20 € |
45 | Petites énigmes trop malignes, du CE2 au CM1, 8-9 ans | Collectif | Hachette Education | 3,99 € |
46 | Jouer pour réviser du CM1 au CM2, 9-10 ans | Michèle Lecreux | Hachette Education | 6,00 € |
47 | Petites énigmes trop malignes, du CM2 à la 6e, 10-11 ans | Collectif | Hachette Education | 3,99 € |
48 | Mes vacances Hachette, de la GS au CP, 5-6 ans | Collectif | Hachette Education | 4,20 € |
49 | Cahier de vacances de la 6e à la 5e, 11-12 ans : toutes les matières | Collectif | Magnard | 7,90 € |
50 | Mes vacances Hachette du CE2 au CM1, 8-9 ans | Collectif | Hachette Education | 4,20 € |